je raconte ma vie de grand adulte retiré des affaires et chaque semaine il se passe quelque chose, des informations sur le fonctionnement de l'Union européenne, des randonnées et balades en Bretagne, des manifestations extraordinaires, des évènements aussi originaux que des matchs de Ligue 1, miss France brestoise, et des lieux de légendes bretonnes
Avec ses cabanes multicolores faites de bric et de broc et sa jolie plage de galets, le petit port de Maison Blanche a de solides arguments pour séduire le promeneur. Tout de suite après-guerre, de toutes petites cabanes de pêcheurs sont construites sur la grève de Maison Blanche. Aujourd'hui, ces cabanes de couleurs vives donnent au site son identité.
Il paraît que le gris est la couleur dominante de Brest… Faux ! Il n’y a qu’à aller du côté de Saint-Pierre. Là, au bout de la route de Sainte-Anne du Portzic, se trouve un lieu tout à fait pittoresque. Du rouge, du jaune, du bleu, du vert… C’est un festival de couleurs vives qui s’affiche sur les murs de la soixantaine de cabanes de pêcheurs ! Nous voilà arrivés au petit port de plaisance de Maison Blanche, avec sa plage de galets, ses bateaux au mouillage et ses bienheureux propriétaires de quelques mètres carrés de tôle ou de bois où ranger leur matériel de pêche.
Mais au fait, pourquoi « Maison-Blanche » ? Les avis divergent. Pour certains, c’est à cause de la cendre qui émanait d’un ancien four à chaux, rendant blanches les maisons alentours. Pour d’autres, c’est le four à chaux en lui-même qui se nommait ainsi.
Les 70 baraques de Maison-Blanche ne se vendent pas, elles se transmettent ; lorsqu'un propriétaire le souhaite, c'est lui qui choisit son successeur. Cette pratique entretient une ambiance de petit village, où tout le monde se connaît et s'entraide.
« Une première cabane a été construite en 1947. Et puis les autres ont suivi », raconte Gilles, patron du bar La Maison Blanche. Et heureux détenteur d’une de ces jolies cahutes. « C’est un pépé qui me l’a donnée contre trois bouteilles de vin ! », plaisante le bistrotier. Car voilà une autre de ces choses qui font le charme du coin : ces baraques, tout l’or du monde ne pourrait les acheter. C’est le propriétaire qui choisit celui à qui il veut la transmettre. Souvent dans la famille, comme Jean-Jacques, 73 ans, qui l’a héritée de son frère.
« La mienne, c’est la bleu-blanc-rouge. La patriote ! » Depuis, il vient ici chaque week-end, retrouver ses compagnons de pêche. « On se connaît tous. C’est comme un petit village. » D’ailleurs, pour se repérer, des plaques de rue ont été installées. « On a même notre rue de la soif ! »
Avec ses cabanes multicolores faites de bric et de broc et sa jolie plage de galets, le petit port de Maison Blanche a de solides arguments pour séduire le promeneur. Tout de suite après-guerre, de toutes petites cabanes de pêcheurs sont construites sur la grève de Maison Blanche. Aujourd'hui, ces cabanes de couleurs vives donnent au site son identité.
La qualité esthétique et la puissance symbolique de Porte Océane, création de Véronique Millour et Philippe Meffroy, ont immédiatement séduit les animateurs de Mécénat Bretagne. Lors de la première rencontre avec les artistes, le projet n'était qu'une esquisse crayonnée sur une feuille de papier. Mécénat Bretagne a participé à sa concrétisation, partageant avec les artistes leur souhait de rendre hommage à tous les hommes et toutes les femmes acteurs du Port de Brest au fil de sa longue histoire, et leur volonté de rendre la ville plus belle au profit de tous les Brestois.
Blocs de pierre baladeurs ! Sculptés par 200 anonymes en 1995 par Véronique Millour et Philippe Meffroy (décédé en 2015), les blocs de différentes carrières de Bretagne (pierres de Kersanton, de Logonna, granit de Ploudalmézeau et Huelgoat) étaient à proximité des Phares et Balises, au port de commerce.
Le phare du Portzic est situé à l'extrémité nord-est du goulet de Brest. C'est le phare le plus proche de la ville de Brest.
Le phare du Portzic a été bâti sur un terrain militaire de la pointe du Portzic en 1848, en même temps que le phare du Petit Minou, plus à l’ouest du Goulet. Un poste de sémaphore avec vigie est installé à sa base depuis 1987. Il régule le trafic maritime entrant et sortant de la rade de Brest et est occupé en permanence.
Coordonnées géographiques : 48° 21,495’ N - 04° 32,041’ W (WGS 84)
Feu principal : 2 occultations en 12 secondes, secteur rouge (portée : 13 milles), secteur blanc (portée : 17 milles)
Feu auxiliaire : scintillant aligné avec le phare du Minou, portée : 22 milles
Feu auxiliaire n°2 : feu blanc à 6 scintillements + un éclat long, portée : 22 milles
Cette tour octogonale en pierres apparentes surmonte, côté terre, un bâtiment rectangulaire et côté mer une vigie de la Marine nationale. Sa hauteur totale : 58 mètres
Premier allumage au 1er janvier 1848. Le phare du Portzic a été électrifié en 1953, automatisé en 1984 et télécontrôlé depuis la station de contrôle du phare du Creac’h en 2000.
Aux portes de Brest, le phare surplombe le goulet et fait face à la pointe des Espagnols.
La vigie, transférée de la pointe du Minou en 1987, est désormais installée à ses pieds. Elle constitue le poste essentiel de régulation de l’ensemble du trafic maritime entrant et sortant de la Rade.
Le phare du Portzic est situé à l'extrémité nord-est du goulet de Brest. C'est le phare le plus proche de la ville de Brest.
Le phare du Portzic a été bâti sur un terrain militaire de la pointe du Portzic en 1848, en même temps que le phare du Petit Minou, plus à l’ouest du Goulet. Un poste de sémaphore avec vigie est installé à sa base depuis 1987. Il régule le trafic maritime entrant et sortant de la rade de Brest et est occupé en permanence.
Coordonnées géographiques : 48° 21,495’ N - 04° 32,041’ W (WGS 84)
Feu principal : 2 occultations en 12 secondes, secteur rouge (portée : 13 milles), secteur blanc (portée : 17 milles)
Feu auxiliaire : scintillant aligné avec le phare du Minou, portée : 22 milles
Feu auxiliaire n°2 : feu blanc à 6 scintillements + un éclat long, portée : 22 milles
Cette tour octogonale en pierres apparentes surmonte, côté terre, un bâtiment rectangulaire et côté mer une vigie de la Marine nationale. Sa hauteur totale : 58 mètres
Premier allumage au 1er janvier 1848. Le phare du Portzic a été électrifié en 1953, automatisé en 1984 et télécontrôlé depuis la station de contrôle du phare du Creac’h en 2000.
Aux portes de Brest, le phare surplombe le goulet et fait face à la pointe des Espagnols.
La vigie, transférée de la pointe du Minou en 1987, est désormais installée à ses pieds. Elle constitue le poste essentiel de régulation de l’ensemble du trafic maritime entrant et sortant de la Rade.
Le phare du Portzic est situé à l'extrémité nord-est du goulet de Brest. C'est le phare le plus proche de la ville de Brest.
Le phare du Portzic a été bâti sur un terrain militaire de la pointe du Portzic en 1848, en même temps que le phare du Petit Minou, plus à l’ouest du Goulet. Un poste de sémaphore avec vigie est installé à sa base depuis 1987. Il régule le trafic maritime entrant et sortant de la rade de Brest et est occupé en permanence.
Coordonnées géographiques : 48° 21,495’ N - 04° 32,041’ W (WGS 84)
Feu principal : 2 occultations en 12 secondes, secteur rouge (portée : 13 milles), secteur blanc (portée : 17 milles)
Feu auxiliaire : scintillant aligné avec le phare du Minou, portée : 22 milles
Feu auxiliaire n°2 : feu blanc à 6 scintillements + un éclat long, portée : 22 milles
Cette tour octogonale en pierres apparentes surmonte, côté terre, un bâtiment rectangulaire et côté mer une vigie de la Marine nationale. Sa hauteur totale : 58 mètres
Premier allumage au 1er janvier 1848. Le phare du Portzic a été électrifié en 1953, automatisé en 1984 et télécontrôlé depuis la station de contrôle du phare du Creac’h en 2000.
Aux portes de Brest, le phare surplombe le goulet et fait face à la pointe des Espagnols.
La vigie, transférée de la pointe du Minou en 1987, est désormais installée à ses pieds. Elle constitue le poste essentiel de régulation de l’ensemble du trafic maritime entrant et sortant de la Rade.
Le phare du Portzic est situé à l'extrémité nord-est du goulet de Brest. C'est le phare le plus proche de la ville de Brest.
Le phare du Portzic a été bâti sur un terrain militaire de la pointe du Portzic en 1848, en même temps que le phare du Petit Minou, plus à l’ouest du Goulet. Un poste de sémaphore avec vigie est installé à sa base depuis 1987. Il régule le trafic maritime entrant et sortant de la rade de Brest et est occupé en permanence.
Coordonnées géographiques : 48° 21,495’ N - 04° 32,041’ W (WGS 84)
Feu principal : 2 occultations en 12 secondes, secteur rouge (portée : 13 milles), secteur blanc (portée : 17 milles)
Feu auxiliaire : scintillant aligné avec le phare du Minou, portée : 22 milles
Feu auxiliaire n°2 : feu blanc à 6 scintillements + un éclat long, portée : 22 milles
Cette tour octogonale en pierres apparentes surmonte, côté terre, un bâtiment rectangulaire et côté mer une vigie de la Marine nationale. Sa hauteur totale : 58 mètres
Premier allumage au 1er janvier 1848. Le phare du Portzic a été électrifié en 1953, automatisé en 1984 et télécontrôlé depuis la station de contrôle du phare du Creac’h en 2000.
Aux portes de Brest, le phare surplombe le goulet et fait face à la pointe des Espagnols.
La vigie, transférée de la pointe du Minou en 1987, est désormais installée à ses pieds. Elle constitue le poste essentiel de régulation de l’ensemble du trafic maritime entrant et sortant de la Rade.