« Je pense qu’il le pense ! ». C’est par cette phrase que le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a répondu à la question de savoir si le président de la République, François Hollande, ne serait pas forcément le candidat du PS en 2017. Qui, de François Hollande ou Manuel Valls, va représenter le PS en 2017 ? « C’est trop tôt, ce n’est même pas dans les têtes. Pour l’instant, je suis premier secrétaire d’un Parti socialiste sans candidat et c’est tant mieux », a répondu Jean-Christophe Cambadélis. « D’abord le temps des idées, le casting on verra après ».

La justice s’intéresse à trois voyages effectués par Nicolas Sarkozy, à bord d’un Falcon ayant servi à transporter de la cocaïne.

Le gouvernement prévoit une réduction des dépenses de publiques de 50 milliards, mettant à contribution l'Etat (18 milliards), la Sécurité sociale (21 milliards) et les collectivités locales (11 milliards). Mais il s'agit moins d'une réduction en valeur absolue que d'un ralentissement de la dépense, laquelle continue à dériver. Le détail de ces économies n'est toujours pas établi, encore moins clarifié... encore un effet d'annonce! l'enfer est pavé de bonnes intentions! décidément il manque à ce gouvernement un pacte de compétence et de responsabilité vis-à-vis des générations futures.

Nous tenons à relayer une initiative des amis de l'Association des contribuables d'Aubagne (ville natale de Marcel Pagnol), avec lesquels nous demandons la fin de l'aide financière à la Turquie par la France. Chaque année, les contribuables français versent environ 150 millions d'euros au régime de M. Erdogan, sans que les contreparties en matière de réformes ne soient apportées.
En fait, Erdogan utilise cet argent pour se faire construire un somptueux palais présidentiel : 200.000 mètres carrés (quatre fois plus grand que Versailles !), 1000 chambres... pour un coût de 500 millions d'euros... et c'est vous qui payez !

Avant : une France en noir et blanc, patriarcale et xénophobe, repliée sur elle-même, enfermée dans ses frontières et ses préjugés, corsetée dans une morale rigoriste, confite en dévotion ; une France laborieuse et soumise, les corps étriqués,
engoncés dans des vêtements austères et stricts, sous la férule toujours injuste et souvent cruelle du Père sur les Enfants, de l’Homme sur la Femme, du Blanc sur le Noir, et l’enrégimentement obscurantiste dans les Églises, catholique ou communiste.
Après : une France en couleurs, de toutes les couleurs, et « que cent fleurs s’épanouissent », ouverte sur l’Europe et le Monde, libérée de ses chaînes ancestrales et de ses haines recuites ; une France hédoniste et égalitaire, une France de toutes les libérations, de toutes les insolences, de toutes les minorités, jusqu’à la plus petite minorité qui soit, l’individu, nouveau Roi-Soleil magnifié par tous les coryphées.