4 avril 2015
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Pionnier de la plongée en scaphandre autonome, du cinéma sous-marin et de l’archéologie sous-marine, Frédéric Dumas fut avant la deuxième guerre, un chasseur sous-marin qui forçait l’admiration et dont la réputation était connue de Marseille à Nice.
En 1938, au cours d’une partie de pêche, il fait la connaissance de Philippe Tailliez, puis de Jacques-Yves Cousteau. Ainsi va naître l’équipe qui sera à l’origine du développement de la plongée autonome.
Frédéric Dumas naît le 14 janvier 1913 à Albi. Dès l’âge de six ans, sa santé fragile oblige ses parents à venir s’installer au bord de la mer à Sanary. Là, dans la baie de Portissol, il découvre avec ses deux frères les joies procurées par la Méditerranée, la natation puis la chasse sous-marine à partir de 1936 (il a alors 23 ans) grâce à un touriste canadien qui fréquente régulièrement la plage de Portissol, Lemoigne.
L’objet qui va déclencher l’intérêt de Frédéric pour le monde sous-marin va être une paire de lunettes binoculaires Fernez : grâce à elles il va découvrir que là où il se baigne régulièrement évoluent « des poissons gros comme des assiettes ». Avec Lemoigne, Didi transforme un lance-pierres en arme de chasse sous-marine, les tringles à rideau remplacent les pierres ; si le résultat est médiocre, il permet tout de même de tuer quelques poissons (principalement des saupes et des sars).
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Pionnier de la plongée en scaphandre autonome, du cinéma sous-marin et de l’archéologie sous-marine, Frédéric Dumas fut avant la deuxième guerre, un chasseur sous-marin qui forçait l’admiration et dont la réputation était connue de Marseille à Nice.
En 1938, au cours d’une partie de pêche, il fait la connaissance de Philippe Tailliez, puis de Jacques-Yves Cousteau. Ainsi va naître l’équipe qui sera à l’origine du développement de la plongée autonome.
Frédéric Dumas naît le 14 janvier 1913 à Albi. Dès l’âge de six ans, sa santé fragile oblige ses parents à venir s’installer au bord de la mer à Sanary. Là, dans la baie de Portissol, il découvre avec ses deux frères les joies procurées par la Méditerranée, la natation puis la chasse sous-marine à partir de 1936 (il a alors 23 ans) grâce à un touriste canadien qui fréquente régulièrement la plage de Portissol, Lemoigne.
L’objet qui va déclencher l’intérêt de Frédéric pour le monde sous-marin va être une paire de lunettes binoculaires Fernez : grâce à elles il va découvrir que là où il se baigne régulièrement évoluent « des poissons gros comme des assiettes ». Avec Lemoigne, Didi transforme un lance-pierres en arme de chasse sous-marine, les tringles à rideau remplacent les pierres ; si le résultat est médiocre, il permet tout de même de tuer quelques poissons (principalement des saupes et des sars).