je raconte ma vie de grand adulte retiré des affaires et chaque semaine il se passe quelque chose, des informations sur le fonctionnement de l'Union européenne, des randonnées et balades en Bretagne, des manifestations extraordinaires, des évènements aussi originaux que des matchs de Ligue 1, miss France brestoise, et des lieux de légendes bretonnes
courte échelle à propos
j'ai la nostalgie des longues belles années de navigation
comment mechouïer gratos?
Au lendemain de la parution du baromètre Ifop pour le JDD, qui montrait une rechute des cotes de popularité du Président et du Premier ministre (de cinq et sept points, à 24 % et 46 % d’opinions favorables), un sondage Odoxa réalisé pour la presse quotidienne régionale/France Inter/L’Express montre une tendance similaire. Les deux têtes de l’exécutif baissent ainsi nettement, retrouvant presque leurs niveaux de décembre. La popularité de François Hollande chute ainsi de cinq points en un mois pour retrouver un niveau de 26 % de popularité. Dans le même temps, la popularité de Manuel Valls recule, elle aussi, de façon comparable (-6 points, à 47 %). Un retour à la normale qui s’explique du fait que les priorités des Français restent l’emploi et le pouvoir d’achat mais en aucun cas la sécurité.
À force de ne pas dire les choses clairement, une tradition au PS depuis Mitterrand que Hollande poursuit allègrement, la modernisation idéologique du parti, réalisée partout ailleurs en Europe, s’opère sous nos yeux, au forceps. Le drame, c’est qu’au-delà du PS, la gauche apparaît profondément divisée à l’approche des départementales. Socialistes et communistes n’auront que 50 listes communes sur 2.000 cantons. Les écolos sont alliés dans près de la moitié des listes avec le Front de gauche quand ils ne font pas cavaliers seuls et ne feront cause commune avec le PS que dans un cas sur cinq. Tandis que la droite se cherche, la gauche se décompose de façon pathétique.
déboucheuse de bouteille entamée