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Le Premier ministre Alexis Tsipras a demandé, « du temps pour respirer », et a assuré « ne pas chercher le conflit » avec les partenaires européens de la Grèce, notamment l’Allemagne avec laquelle le dialogue de sourds se poursuit. Il a promis à nouveau de ne prendre aucune décision « unilatérale » concernant le sujet épineux de la dette de son pays. « Je suis persuadé que nous allons bientôt trouver un accord favorable, à la fois pour la Grèce et pour l’Europe dans son entier », écrit-il.
La chancelière Angela Merkel a répété qu’il n’était pas question de consentir à la Grèce un « effacement », même partiel, de sa dette. Or Il s’agit d’une revendication prioritaire du nouveau gouvernement emmené par le parti de la gauche radicale Syriza. Il prendra conseil auprès de la société franco-américaine Lazard, dont le vice-président pour l’Europe Matthieu Pigasse a plaidé en faveur d’une remise de dettes grecques de pas moins de 100 milliards d’euros, sur un total de 315 milliards.