je raconte ma vie de grand adulte retiré des affaires et chaque semaine il se passe quelque chose, des informations sur le fonctionnement de l'Union européenne, des randonnées et balades en
Bretagne, des manifestations extraordinaires, des évènements aussi originaux que des matchs de Ligue 1, miss France brestoise, et des lieux de légendes bretonnes
La détection, jeudi 28 janvier, d’un drone volant à proximité de la très secrète base des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) a provoqué, mardi matin, en presqu’île de Crozon, au sud de Brest, un impressionnant déploiement de forces. Il faut dire que le survol est survenu à un instant critique : alors qu’un SNLE devait faire mouvement
L’annonce a provoqué l’effet d’une bombe : DCNS, le constructeur naval militaire français, concepteur et fournisseur quasi-exclusif des navires de la Marine nationale, va devoir provisionner 300 millions d’euros en 2014. Ses pertes se sont accumulées depuis plusieurs années et portent essentiellement sur deux contrats. Le premier est celui des sous-marins nucléaires d’attaque Barracuda tandis que le second porte sur le réacteur Jules Horowitz de Cadarache, un réacteur expérimental destiné à la recherche sur les comportements des combustibles et des matériaux pour les centrales électronucléaires.
Dupont-Aignan. « Syriza, la défaite de l’Union européenne ». La victoire de Syriza aux élections grecques est-elle une défaite de l’Europe ? Cette défaite n’est pas celle de l’Europe, mais celle de l’Union européenne qui n’a rien à voir avec ce que devrait être l’Europe, puisque l’UE est la trahison de la belle idée européenne. C’est donc une défaite de cette espèce d’avatar qui siège à Bruxelles et de Madame Merkel qui prétend diriger toute l’Europe.
Vu par Hubert Coudurier - L’emploi, par Manuel Valls, du mot « apartheid » à propos des banlieues, a récemment donné lieu à controverse. Mais on pourrait l’étendre à d’autres questions épineuses car, selon le psychanalyste Patrick Guyomard, « l’apartheid, ce sont des problèmes qu’on enferme sans les résoudre ». Une manière de mettre une frontière entre le problème et soi. La question du chômage dont la progression ne se ralentit pas, en fournit une dramatique illustration. Le système français, c’est désormais connu, favorise le sous-emploi, pour de multiples raisons liées à l’indemnisation du chômage, aux seuils sociaux, au fait que les syndicats défendent ceux qui ont un emploi, plus que ceux qui n’en ont pas, etc...
la situation la plus préoccupante ? Guingamp et Lannion. La difficulté principale de ces deux établissements est qu’ils sont sur un bassin de population qui fait à peine 200.000 habitants avec trois plateaux techniques : ceux de Lannion-Guingamp et celui de la polyclinique du Trégor. Il faut qu’il y ait davantage de complémentarité. La concurrence les dessert. Trois offres, voire quatre avec Saint-Brieuc, pour une personne qui se casse le col du fémur, c’est trop.
Une véritable course contre la montre Défenseurs de l’environnement et scientifiques étaient réunis, mardi, à Ol Pejeta, au Kenya, pour tenter de sauver de l’extinction les rhinocéros blancs du nord. Il ne reste, en effet, que cinq représentants de cette sous-espèce au monde, dont Sudan (notre photo), qui vit dans un enclos de 300 hectares dans une réserve kenyane, en compagnie de deux femelles. Soit bien à l’abri du braconnage et des conflits. Mais le sperme de Sudan, qui a dépassé les 40 ans (l’espérance de vie de ces rhinocéros), est de mauvaise qualité et aucune des quatre femelles encore en vie n’est apte à la reproduction. L’espoir réside donc dans des méthodes de procréation artificielle. La meilleure chance semble la conception d’un « bébé rhinocéros éprouvette », par fécondation in-vitro, via une femelle porteuse d’une autre sous-espèce, le rhinocéros blanc du Sud, espèce moins menacée dans l’immédiat.
Depuis l’arrivée de trois phoques à moustaches, Océanopolis est le seul aquarium au monde à présenter trois espèces polaires dans un même bassin. Les deux phoques annelés, Baron et Junior, ainsi que Pierrot, le phoque du Groenland, ont fait de la place à Vlad, Dinka et Zora.
38 personnes ont perdu la vie sur les routes finistériennes, l’an passé. À l’inverse de la situation régionale et nationale, le département fait figure de bon élève, en dépit de comportements jugés inquiétants.
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la vie à Brest est dynamique, un IKEA, un tramway, Océanopolis, un stade nautique, un technopole, et des randonnées pédestres et cyclistes dans tout le Finistère. Les Chemins de COMPOSTELLE, La Loire à Vélo, le Chemin de Stevenson...