je raconte ma vie de grand adulte retiré des affaires et chaque semaine il se passe quelque chose, des informations sur le fonctionnement de l'Union européenne, des randonnées et balades en
Bretagne, des manifestations extraordinaires, des évènements aussi originaux que des matchs de Ligue 1, miss France brestoise, et des lieux de légendes bretonnes
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L'image de Nicolas Sarkozy s'est abîmée depuis son retour en politique, d'après un nouveau sondage réalisé après son élection à la tête de l'UMP.
En majorité des salariés, peu ou pas qualifiés, comme a tenté de l’expliquer d’une manière on ne peut plus blessante, le ministre de l’Économie Emmanuel Macron. Mais aussi des employés d’origine étrangère qui, ne maîtrisant pas à la perfection le français, ont décliné toute offre de formation. On le voit, la tâche est rude pour les conseillers. Mais surtout pour les ex-salariés de plus de 45 ans qui sont encore loin de cette passerelle qui mène à la retraite. Et qui, souvent, fait l’objet d’une sécurisation de fin de carrière. Leurs chances de rebondir diminuent fortement.
La chose peut paraître cynique, mais le traitement du chômage est devenu, au fil des ans, un business très lucratif pour les cabinets spécialisés qui se partagent ce marché de la déconfiture économique et sociale. Selon une étude du ministère du Travail, sur le long terme, moins d’une personne sur deux retrouve un emploi pérenne à l’issue d’un suivi par une cellule. Un taux qui, dégradation du marché du travail oblige, tend à s’amenuiser avec le temps. En Bretagne, ces derniers mois, les plans sociaux ont frappé durement un public particulièrement fragile. Celui de l’agroalimentaire, pilier de notre économie régionale.
Au locataire de les installer - Si vous êtes locataire, c’est vous-même, en tant qu’occupant, qui devez équiper votre logement, les propriétaires n’étant tenus que d’équiper les locations saisonnières. Il est interdit de les installer dans les parties communes des immeubles d’habitation collectifs qui devront être équipées d’autres dispositifs de sécurité. Dans les faits, la loi ne prévoit encore aucune sanction en cas de non-installation.
Mais les assureurs ne sont censés couvrir que les installations conformes à la législation. En cas de sinistre, la sanction risque donc d’être lourde pour les retardataires. Aussi, dès que votre détecteur sera en place, n’oubliez pas d’avertir l’assureur auprès duquel vous avez souscrit votre assurance garantissant les dommages incendie.
Votre détecteur doit être certifié de la norme EN 14 604, et installé près de l’accès aux chambres, près du plafond. En général, le prix d’un détecteur de fumée ne dépasse pas 50 € mais attention aux « premiers prix » : les associations de défense des consommateurs ont plusieurs fois signalé que de nombreux détecteurs bon marché n’étaient pas fiables.
La pose d’un détecteur de fumée sera obligatoire le 9 mars prochain. Un incendie toutes les deux minutes, 800 décès par an : il suffit de consulter les statistiques françaises sur les incendies pour comprendre qu’il était temps d’agir pour améliorer la protection des logements contre le feu. Ce sera chose faite le 9 mars 2015, date à partir de laquelle tout lieu d’habitation devra être équipé d’un détecteur autonome avertisseur de fumée (DAAF). Il est conçu pour détecter les incendies dès les premières émissions de fumée et émettre immédiatement un signal sonore assez puissant pour réveiller une personne endormie dans le logement. En effet, la majorité des incendies mortels ont lieu la nuit : les victimes sont surprises dans leur sommeil et succombent par asphyxie.
L’affaire de la Cooperl porte un nouveau mauvais coup au système de sécurité alimentaire français. Et pointe les limites d’une révolution imposée en 2004 par l’Union européenne (« paquet hygiène »). Avant, l’État était responsable de la sécurité des produits alimentaires mis sur le marché. Désormais, cette responsabilité incombe aux industriels. Résultat : les services de l’État, dont les effectifs ont fondu de près de 20 % entre 2005 et 2012, ne vérifient plus la salubrité des produits mais s’assurent seulement, dans la majorité des cas, que le professionnel a bien mis en place les mesures permettant de garantir cette salubrité. Parmi ces mesures : les autocontrôles. Les entreprises sont priées de se contrôler elles-mêmes. Et sont sommées de transmettre aux services de l’État les résultats non conformes. Un peu comme si l’on exigeait des automobilistes de signaler aux forces de l’ordre leurs propres excès de vitesse.
8 octobre 2014 : Jean Guisnel : Tout le monde est d’accord : la guerre aérienne contre les sectaires de Daesh ne suffira pas à réduire ces criminels de guerre suicidaires. Mais une fois ce constat d’évidence effectué, que fait-on ? Envoyer des troupes au sol... La belle affaire ! L’armée syrienne libre n’est pas à la hauteur. Les militaires irakiens piteusement débandés devant des hordes d’hommes masqués, désormais équipés des matériels qu’ils leur ont pris, verraient bien les Américains revenir pour se faire tuer à leur place. Le Turc Erdogan réclamait une intervention au sol en Syrie contre les jihadistes, en oubliant qu’il a l’autorisation de son parlement pour faire parler la poudre. Mais non... La vérité, c’est que les États de la région, tous dotés d’armées sur le papier très puissantes à l’instar de la Turquie, de l’Iran, de l’Égypte ou de l’Arabie saoudite, refusent de s’engager. Il faudrait d’abord qu’ils se mettent d’accord, effort apparemment insurmontable. Surtout, ils trouvent excellent que les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne et d’autres pays européens ou l’Australie se mouillent. Ils seraient encore plus enchantés que ces nations leur envoient de l’infanterie. Pour l’instant, c’est non. Qu’ils montrent d’abord de quoi ils sont capables. On verra ensuite...
Je veux faire comme les autres. « Je voulais suivre les copines », se souvient Sonia, 35 ans, se remémorant son adolescence faite de sauts de tourniquets et de petites fauches. Pour un professeur de psychologie à l’université de Lorraine, « la resquille peut être subie plus que voulue. Elle fait partie d’une norme. Ne pas s’y plier signifierait être exclu ». En dehors de cette stratégie identitaire, l’exaspération ou le sentiment d’injustice devant le comportement de nos congénères fraudeurs peuvent aussi nous faire franchir la limite, histoire de nous éviter la désagréable sensation d’être les dindons de la farce : « Si eux le font, pourquoi pas moi ? ». Et une fois que nous sommes passés à l’acte, c’est à nouveau l’autre qui nous sert d’excuse. « Quand nous agissons de façon critiquable, explique Laurent Bègue, nous faisons appel à une technique mentale éprouvée, nous nous rassurons en nous disant que nous sommes faits du même bois que les autres ».
Piquer, tricher, vibrer, c’est leur truc. Filous à leurs heures, ils ont développé pour la transgression un goût certain… pas si anodin. « J’aime bien resquiller ». Faire semblant de rejoindre quelqu’un pour griller la file devant le cinéma. Coller sur un sac l’étiquette délivrée par la balance avant d’ajouter quelques fruits en plus. Ne pas signaler au serveur qu’il a fait une erreur en notre faveur dans l’addition... Qui peut se prévaloir de n’avoir jamais agi ainsi ? Selon une enquête qu’il a menée auprès d’un échantillon de 2.000 personnes âgées de 18 à 65 ans, L. Bègue, directeur du Laboratoire interuniversitaire de psychologie de l’université Pierre-Mendès-France, à Grenoble, a constaté que « 33,3 % des personnes interrogées avaient déjà volé un objet d’une valeur inférieure à 20 € ».
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la vie à Brest est dynamique, un IKEA, un tramway, Océanopolis, un stade nautique, un technopole, et des randonnées pédestres et cyclistes dans tout le Finistère. Les Chemins de COMPOSTELLE, La Loire à Vélo, le Chemin de Stevenson...